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L’objectif de ML2D est de populariser quatre grandes réformes qui permettront à notre pays de renouer avec le dynamisme économique, d’afficher un taux de chômage et une prospérité digne des pays comparables. Un pays où il fait bon vivre sans assistanat ruineux.
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Voici quelques exemples tirés de l’actualité récente qui montrent que l’État est le problème et non pas la solution.
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Le problème est ici la charge qui pèse sur TOUS les employeurs. N’oublions pas que c’est pour alléger ce problème et lutter contre le travail au noir que l’État avait accordé un « avantage » aux employeurs particuliers et âgés.
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L’intérêt général - qui est l’intérêt de tous et non pas celui d’une catégorie face à une autre – serait que TOUS les employeurs privés puissent déduire la TOTALITÉ des salaires de ceux qu’ils emploient. Une telle mesure serait un encouragement à l’embauche, permettrait aux plus âgés de rester chez eux le plus longtemps possible.
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Aux dernières nouvelles, le gouvernement renoncerait à la suppression de cet « avantage ». Même si cela s’avère, ceci montre que toute réduction fiscale peut-être rapidement remise an cause.
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Cette mesure ne résout évidemment pas le problème de fond : le coût du travail en France est trop élevé. Ce surcout par rapport aux pays comparables provient du poids des assurances sociales. L’État les monopolise depuis 75 ans. Les distinctions artificielles entre charges sociales « patronales » et « salariales » n’ont aucune justification si ce n’est une mentalité de « lutte des classes ». C’est le coût exorbitant des assurances sociales qui motive le « travail au noir ».
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Notre mesure du « salaire complet » permettrait de résoudre ce problème et d’éviter les usines à gaz fiscales. Avec le salaire complet, l’employé reçoit tout son salaire (net + charges salariales + charges patronales), décide de ses assurances sociales et les paie lui-même.
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-2- Les auto-entrepreneurs déplorent la prochaine disparition de L’ACRE (aide aux créateurs et repreneurs d’entreprise)
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Il s’agissait d’une mesure d’allègement de charges qui touche 150 000 auto-entrepreneurs. La France – champion du monde de la fiscalité à tous les niveaux – est un des rares pays où un entrepreneur doit payer des impôts même sans avoir généré de chiffre d’affaires ou résultat bénéficiaire.
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Là encore c’est l’État le problème et non pas la solution. L’allègement existe parce que justement la charge initiale est trop lourde. C’est celle-là qu’il faut réduire.
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Par ailleurs, l’instabilité fiscale et réglementaire entrave l’initiative. Toutes les entreprises devraient être égales devant l’impôt sans effet de seuil et complications inutiles.
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Dans les questions de société, l’État crée aussi des problèmes là où il n’y en a pas.
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La PMA pour toutes, la GPA et le financement du déni de réalité
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ML2D considère que la seule égalité dont doit se préoccuper l’État est la stricte égalité devant la loi.
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« Les hommes n'étant pas dotés des mêmes capacités, s'ils sont libres ils ne seront pas égaux, et s'ils sont égaux c'est qu'ils ne sont pas libres. » Alexandre Soljenitsyne
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Les droits naturels inscrits dans la Déclaration des droits de l’homme de 1789 sont : liberté, propriété, sûreté et résistance à l’oppression.
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Les lois doivent être écrites pour protéger les droits naturels de chacun : homme ou femme, jeune ou vieux, riche ou pauvre.
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Le « droit à l’enfant » n’existe pas. L’homosexualité entre adultes consentants est compatible avec les droits naturels. Elle implique comme conséquence la stérilité. Les adultes doivent assumer les conséquences de leurs actes. Endosser sa responsabilité est même la caractéristique de l’adulte libre. Toute législation est par conséquent inutile. Si de plus une minorité entend faire porter les frais de conséquences non assumées des actes de quelques uns sur l’ensemble des contribuables, elle est contraire aux droits naturels.
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L’urgence climatique et le délire fiscal
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Il n’y a pas d’urgence climatique. Les positions du GIEC ne font pas l’unanimité parmi les scientifiques. Les prévisions du GIEC sont démenties avec chaque décennie qui passe. Le changement climatique est en réalité un prétexte à la taxation et finance le capitalisme de copinage qui tourne autour des énergies vertes.
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Comme par hasard, le parrain de Greta Thunberg est un gérant de fonds d’investissement dans les énergies vertes comme je le rappelle dans mon dernier livre « La rage de l’impôt ».
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« You have stolen my dreams and my childhood with your empty words. » « Vous avez volé mes rêves et mon enfance avec vos belles paroles» Greta Thunberg, Nations Unies, 23 septembre 2019
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La jeune suédoise est une nouvelle prêtresse Malthusienne.
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Jamais dans le monde et dans l’histoire de l’humanité, le pourcentage de la population qui souffre de la faim n’a été aussi faible selon le dernier rapport de la FAO. Alors même que nous sommes plus de 7,5 milliards d’habitants (contre 3,8 milliards en 1972).
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Le gain de productivité le plus phénoménal depuis la Seconde guerre mondiale est celui de l’agriculture, largement devant l’industrie et les services. La mécanisation, les engrais, les pesticides et enfin l’élaboration d’espèces résistantes évitent les famines.
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Voilà le monde dans lequel est née Greta Thunberg. Il ne s’agit pas de paroles, mais de faits.
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Ce monde n’est pas parfait. Des enfants juifs, khmers, ukrainiens, russes, chinois,… ont eu une enfance abrégée. Ils ont été éliminés avant l’âge adulte parce qu’ils n’étaient pas de la bonne « race », du bon milieu social ou même du bon sexe. Ceux-là n’ont pas eu de rêves car ils ont été assassinés par des totalitaristes, par des extrémistes. Le point commun de leurs assassins était de vouloir imposer des « projets de sociétés » déniant la personnalité.
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L’urgence n’est pas climatique.
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Les 1 000 premiers jours de l’enfant sous le contrôle de l’État
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Nous voilà maintenant en train de financer avec nos impôts les participants à une commission chargée de formater nos enfants.
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Cette « période sensible » des mille premiers jours de l’enfant jusqu’à l’apparition du langage, constitue « un impensé de l’organisation sociale, qui n’existe pas comme politique publique », a poursuivi le Président. ll a même évoqué la possibilité de créer « un service public de la petite enfance ».
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L’école des parents par un président de la République qui n’a pas eu d’enfants.
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L’urgence est de retrouver un peu de bon sens, de reprendre nos affaires en main, de ne pas nous laisser imposer une société totalitaire, une société où l’État veut nous transformer en fourmi ou abeille indifférenciée, en petits personnages Playmobils manipulés.
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